L’eau plissée parcourt les paysages et les soleils levants,
alors que la routine dessine des chapitres sans couleurs.
L’eau abreuve les terres comme le printemps exalte les corps,
alors que les opinions exsanguent les êtres éternels,
les appels charnels, les folies aquarelles.
Et si chaque aurore engendre une naissance,
je souhaite être cette femme, qui la nuit,
supporte les silences.