VIII.
Je travaille avec ma guitare grattée par le sel, un chien hâlé à mes pieds, un brouillard de briques en uniforme posé sur les murs de safran, un éclat de
Auteure & Artiste
Je travaille avec ma guitare grattée par le sel, un chien hâlé à mes pieds, un brouillard de briques en uniforme posé sur les murs de safran, un éclat de
Une foule de regards oligarques, tel un décorum griffu et opaque qui cisèle l’ordinaire, oppose l’hédonisme au rationnel. On lui dit que l’organe organise que l’original est orgueil que l’oscillation
Les bouches écarlates de désir alors que le ciel est noir et lourd Les visages luisants de bonheur alors que la crasse colle aux corps, accroupissent les collines hoquetantes. Le
L’effarement conquiert les corps alors que les lumières artificielles s’éteignent. Place à l’implacable pédagogue. Une pandémie de regards hagards se croisent aux fenêtres hantées de mains tendues et confinées. La
Le ciel a vieilli. Il engloutit des sanglots devant ce visage pastoral qui célèbre l’éclat de l’aubépine fanée, du rêve bâti d’ombres et de nuits. Il n’a plus de sol
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